dimanche 31 janvier 2016

Entre chien et loup, naturellement !

En cette saison, surtout en ces jours de température clémente, quand il ne pleut pas, le meilleur moment pour profiter de la nature, c’est quand le soleil s’efface doucement  à l’horizon. On ressent moins le tumulte de la civilisation de la machine et les animaux commencent à pointer le bout de leur nez, aussi n’est-il pas rare d’apercevoir quelques biches. A partir de ce moment en effet, les Hommes « trop civilisés » ont quitté le terrain. C’est aussi ce que je recherche, mon moyen de transport essentiel étant la marche à pied ! Mon illustre homonyme qui aimait aussi les promenades dans ce beau pays, accompagné de son chien Sultan, ne se posait pas ce genre de question, bien que les Hommes n’aient pas été meilleurs à cette époque, car la nature restait encore quasiment préservée.  Une vie très rude en était la contrepartie, avec des saisons très contrastées et notamment des hivers fort rudes. La Révolution française ne tire-t-elle pas ses origines de plusieurs hivers effroyablement froids et de plusieurs très mauvaises récoltes, bien plus que d’un monarque outrancièrement caricaturé, en réalité très au fait de la culture et de la modernité ? La promenade a aussi cette vertu d’inciter à la méditation. Goûter les charmes des beaux points de vue et des lumières changeantes ne signifie pas systématiquement « se ruer » sur son appareil photo. Cela étant, même si le reflex et ses objectifs restent à la maison, il est toujours bon d’avoir dans sa poche une petite « boîte à image » ! Et comme c’était trop beau, je n’ai pas pu résister ! Ainsi, oublions la mauvaise qualité de ces photos et imaginons la vision de beaux points de vue. On ne peut pas s’empêcher de penser aux ciels d’Eugène Boudin et à la lumière chère à Claude Monet.


Photos prises avec un très petit compact numérique « no name » de 2007.









lundi 25 janvier 2016

Lumières d’hiver


L’hiver s’est décidé à faire une petite incursion chez nous, dans une saison une nouvelle fois très atypique qui perturbe les cycles des végétaux. Myosotis et Muscaris essayaient déjà de fleurir, jusqu’à ce que le froid glacial et le givre figent les paysages. En cette morne saison, le froid et le brouillard dissolvent les formes dans un halo grisâtre peu propice aux représentations picturales,  et pourtant ! SI l’on se donne la peine de regarder un peu autour de soi, la lumière est partout d’une exceptionnelle intensité et ses rayons se diffusent agréablement parmi des formes en noir et blanc ou en des tonalités pastel très douces. 

Les photos ont été prises dans le parc du Château de Trye et depuis le coteau des Groux, avec un tout petit appareil compact « no name= Nytech DS-8210 Digital Camera » de 2007.







Le givre a totalement figé les fleurs naissantes très prématurées de myosotis (appareil Sigma SD14).




vendredi 1 janvier 2016

Bonne année 2016!




Très curieuse, la mésange à longue queue vient dire bonjour à la fenêtre de chambre!



                                                                  Rose du jardin


    Le parc du château de Trie; au fond l'église Sainte Marie-Madeleine monument classé.


               http://www.mairie-trie-chateau.fr/page%20parimoine%20histoire.htm