vendredi 10 novembre 2017

Variations sur une ultime rose de novembre...

sous la pluie en pensant à Ronsard....

et donc petit compact baroudeur Lumix et de ce fait quelques correctifs légers sous Photoshop.







vendredi 15 septembre 2017

Variations sur une rose du jardin!

Osons le flou!


Osons les contrastes!



Association improbable entre Olympus et un objectif de caméra de surveillance "Fujian"!


vendredi 8 septembre 2017

Cœur de fauves !

Une journée chez Kid Bauer, au parc Saint-Léger « grands félins » est toujours un grand plaisir pour les petits et aussi pour les grands avec la rencontre de beaucoup d’animaux. Ce n’est en outre un secret pour personne que j’aime les félins, petits et grands, et que j’apprécie beaucoup le monde du cirque. J’ai aussi le sentiment que le « courant »  passerait très bien avec Kid Bauer, si l’on devait faire vraiment connaissance. Je n’hésiterais pas un instant à entrer dans la cage avec lui, tant son amour des gros chats et la confiance qu’il a en eux (et réciproquement) constituent toute sa vie. Chiche ?


Je vous livre donc quelques clichés évocateurs. Quand on utilise un petit Lumix baroudeur FT20, ce n’est pas pour « sortir » une photo bien apprêtée mais pour livrer un témoignage instantané.

  





Le jeune Lynx, très heureux de vivre, ne pense qu’à jouer ! C’est un superbe félin qui ressemble tellement à un gros chat ! Présent chez nous, surtout dans le Jura mais aussi dans les Alpes et les Vosges, c’est un animal particulièrement discret. De fins connaisseurs attendent souvent de nombreux mois  avant de réussir à photographier le « fantôme des bois ». A contrario, il peut aussi se montrer curieux (comme tous les chats) quand on le croise exceptionnellement. Voir à ce sujet les très beaux reportages dans NatImages (Chasseur d’Images) et aussi dans Image et Nature.


En ce dernier jour de forte chaleur, le 28 août 2017, les guépards font la sieste, aucunement émus par la présence des visiteurs tout proches. On a peine à croire qu’ils sont les champions du sprint à 110 km/h !! 


La panthère noire me regarde froidement en semblant dire « viens ici mon p’tit père que je t’attrape » !! Là, je n’entrerais pas dans son gîte !


Quant au seigneur tigre, il préfère rester impassible, dans son bain qui le rafraîchit !


Avec le bébé lion, ce fut une très grande discussion ! Confortablement installé dans un enclos ombragé, en attendant de retourner voir sa maman, il semble avoir un peu de vague à l’âme et échange avec moi très facilement. Les animaux s’expriment et une bonne observation permet de saisir leur état d’esprit. Entre les Grrrrr, ouain…, graoou…fort sonores, il avait besoin de s’épancher et de me dire plein de choses !!


A la fin de la journée, les débonnaires guépards se sont réveillés. L’un est sur le dos, l’autre se promène à quelques mètres des visiteurs.  C’est un très beau félin, fort sociable.

Le retour des corsaires ?

L’histoire de Dieppe, tout aussi prestigieuse que mouvementée, se caractérise par des époques contrastées, tantôt de grand essor puis de déclin. Après une certaine stagnation, dans la deuxième moitié du 20ème siècle, Dieppe connaît à nouveau une période dynamique qui se voit dans le renouveau de la ville et la mise en valeur de son patrimoine architectural, même s’il reste beaucoup à faire (notamment avec les très belles églises  Saint Jacques et Saint Michel fortement menacées).  Dans ce contexte de modernité parfaitement assumée, en ce jour du 28 août 2017, nous dûmes fortement nous frotter les yeux, face à une apparition fantomatique dans la brume, sur une exceptionnelle (pour Dieppe) mer d’huile. En effet, un beau voilier venait  mouiller face à la plage, en réduisant lentement ses voiles. Étions-nous revenus plusieurs siècles en arrière avec l'arrivée des corsaires ? A priori, cela ne perturba pas les nombreux dieppois et visiteurs profitant d’un beau soleil sur la grève !


Clichés avec un petit Lumix baroudeur FT20







Magie du littoral des Hauts de France

Ces deux seules photos évoquent  et résument tout l’attrait de la côte septentrionale, avec la variété de ses paysages, ses belles plages, sa nature relativement et comparativement bien préservée, ainsi que ses exceptionnelles lumières, proches de celles de la voisine normande et qui enchantèrent les impressionnistes.


Clichés avec un petit Lumix baroudeur FT20



Images instantanées du pays lensois

Ces clichés pris depuis une voiture en marche, entre Rouvroy et  les collines de l’Artois (en tant que passager bien évidemment), sauf les deux derniers, lors d’une journée d’août 2017 à la météo aux variations très fortes,  révèlent bien l’atmosphère d’une région qui a connu de profondes mutations. La dernière image, saisie dans les toilettes du cimetière de Barlin (sans doute les mieux agencées et les plus propres de France) résume bien l’état d’esprit du pays des Ch’ti : gouaille, sociabilité, goût du service et du travail bien fait !


Cliches avec un petit Lumix baroudeur FT20.








jeudi 27 juillet 2017

Art rural!

La nature est une oeuvre d'art qu'il suffit de savoir contempler sous toutes ses formes, surtout les plus humbles. J'ai trouvé ce beau tableau champêtre banalement au bord d'une petite route poussiéreuse et même avec mon petit Windows phone, le graphisme est expressif!







A la recherche des Templiers?

Non, pas spécialement mais, lorsque je me rends à Gisors, je ne manque jamais d'aller admirer l'un des plus beaux spécimens d'architecture militaire médiévale, le château avec son donjon sur motte, son beau jardin, sa vue sur la ville et son église cathédrale, ses douves etc. 

Je n'avais pas prévu ni envie de faire des photos en ce 22 juillet 2017. Cela étant, il y a toujours des points de vue et lumières intéressants et, sans appareil photo, il restait cependant mon modeste et petit Windows phone, réputé pour être le plus mauvais photo-phone du marché! Il faisait gris mais tiède, au sortir de jours brûlants, avec une lumière bizarre et les tons ocres d'une végétation qui n'en peut plus de griller. Après un léger post traitement (que faire de plus avec ce type d'outil), cela nous donne un mélange de diapositive d'antan et d'aquarelle. Les fleurs du jardin ne peuvent pas beaucoup rehausser tout cela tant elles ont eu du mal à pousser avec ce climat hors norme. Seules les chèvres qui assurent un débroussaillage écologique apprécient! Finalement, tout essayer en photo, ce n'est pas désagréable!
















samedi 22 juillet 2017

Poésie des hauts de France


J’ai retrouvé ces photos de Berck d’il y a trois ans, réalisées  avec un petit Canon 1100D. Il n’est pas toujours nécessaire d’aller au bout du monde………..





Auberge des animaux

Mon jardin, aussi raisonnablement naturel que possible (un jardin de photographe), semble apprécié par ce qu’il est convenu d’appeler la biodiversité, dans le langage d'aujourd’hui ! Les insectes pollinisateurs butinent, les papillons (dont le Moro Sphynx) colorent l’espace de leurs belles ailes ainsi que quelques libellules, parfois. Les écureuils se sont aussi installés à demeure (voir ma page du 1er décembre 2016). On les voit peu, on ne cherche d’ailleurs pas à les déranger mais ils sont bien là car les noisettes qu’on leur donne sont régulièrement croquées…ou cachées dans les parterres ou les pots de fleurs, méthodiquement grattés, car ce sont les seuls endroits en ce moment, où la terre est meuble. Les descendants de « Scrat », l’écureuil fou de « l’âge de glace », sont toujours aussi obnubilés par les noisettes et les glands!!! Quant au débonnaire hérisson, on le voit encore moins mais on l’entend fouiner et il arrive qu’il vienne sur la terrasse à la nuit tombante, sans manifester de crainte particulière. Un soir, il est resté à côté de moi, d’abord un peu effrayé de ma présence mais sans vraiment se mettre en boule. Il s’est ensuite reposé tranquillement quelques minutes, avant de repartir paisiblement le long de mes pieds ! Mais ce sont essentiellement les oiseaux, aux nombreuses espèces, qui fréquentent les lieux. La mésange a fait son nid…..dans une « maison » d’écureuil mais elle n’est pas la seule car de très nombreuses naissances ont été constatées ! Comme chaque année, c’est l’hirondelle rustique qui est la plus visible car le couple, habitué du site, vit dans le garage ! Le nid placé sur le tuyau d’évacuation de la cuisine (donc tiède….un chauffage central) s’étant écroulé l’année dernière (voir ma page du 23 juillet 2016), elles ont naturellement utilisé l’autre nid, beaucoup plus frais sinon un peu froid, une aubaine cette année de chaleur. Quatre petits sont nés avec, comme d’habitude, un costaud et un timide plus fluet !! Ils ont quitté le nid le 9 juillet et appris les premiers rudiments du vol le 11 juillet. Aujourd’hui, c’est un ballet incessant de petits « avions de chasse », l’Homme n’ayant fait que copier l’oiseau ! Les jeunes hirondelles ne me craignent absolument pas et marquent même pas mal d’intérêt, quand je vais les voir et m’approche. J’évite cependant de le faire fréquemment car s’habituer à l’Homme constituerait un grand danger. A priori, elles seront bien solides et entraînées pour « le grand voyage », dans un peu plus d’un mois, contrairement aux petits de l’année dernière.

Photo avec Olympus.





vendredi 21 juillet 2017

Joyaux solitaires !


Le réchauffement climatique est une réalité désormais bien visible, dans le sud-ouest des Hauts de France, à la frontière de la Normandie. Au fil du temps, depuis le début du Printemps, le sol est devenu sec, l’herbe grillée et le soleil brûlant. Tondre la pelouse n’a plus aucun sens car il n’y a quasiment plus rien ! Les arbres résistent, ainsi que quelques plantes sélectionnées que l’on arrose parcimonieusement, pour les maintenir. Dans ce contexte, les rares fleurs sauvages ou cultivées qui subsistent, paraissent comme des joyaux solitaires, perdus dans des tonalités de plus en plus fades.  Les photos ci-dessous ont été faites au printemps, alors qu’il n’y avait déjà pas beaucoup de couleurs ! Aujourd’hui, il n’y a quasiment plus rien à photographier, ou si peu ! 
Ce sont toutes des photos Olympus, sauf la première (Canon).