dimanche 10 décembre 2023

Temps de Noël à Trie-Château

L'Iphone SE2 n'est certes pas très à l'aise la nuit. Mais a-t-on toujours besoin d'une image parfaitement ciselée pour évoquer une ambiance, un ressenti, etc....? Le plus difficile, c'est finalement de parvenir à s'affranchir de la civilisation de l'automobile.......








Temps de Noël à Gisors

L'Iphone SE2 n'est certes pas très à l'aise la nuit. Mais a-t-on toujours besoin d'une image parfaitement ciselée pour évoquer une ambiance, un ressenti, etc....? Le plus difficile, c'est finalement de parvenir à s'affranchir de la civilisation de l'automobile.......










jeudi 23 novembre 2023

 L’Intelligence Artificielle (IA) ou la nouvelle peur de l’An 1000…..

A chaque étape de l’Histoire de l’Humanité, les changements et évolutions engendrent interrogations et peurs, le futur apparaissant potentiellement dangereux.

Force est de constater que chaque progrès améliorant les conditions de vie, recèle sa contrepartie négative et menaçante. La révolution industrielle, à base d’extraction minière, nous a apporté pollution et misère sociale, rançon du niveau de vie sans commune mesure avec le passé etc…….

Tout confier aux machines comporte évidemment des risques majeurs dont le plus simple : la panne d’électricité. Les attaques cybernétiques conduisent aussi à une quasi-impossibilité d’assurer un service à l’ancienne, les dossiers physique « papier » ayant disparu.

 Avec l’intelligence artificielle, on franchit une nouvelle étape, avec le risque d’emballement décisionnel incontrôlable et ce d’autant plus que la machine travaille sur la base d’une expérience capitalisée sur une quantité énorme d’informations triées, classées, assemblées, organisées, synthétisées. En cas de pollution malveillante massive de données, le risque est patent. Et donc qui contrôlera et avec quelles limites et barrières ?

Mais finalement, fondamentalement, le défi n’est pas plus grand que lors du développement du nucléaire, originellement.

Cependant, on peut aussi y voir l’affolement de l’élite, notre nouvelle aristocratie, dont la suprématie vacille.

Depuis trente ans, l’éducation de notre société est focalisée (et même formatée) sur le « compter, classer, diviser ». Seuls les cerveaux classant et comptant à la vitesse de l’éclair, en « montant » et en « redescendant », ont de la valeur, à l’exclusion de tous les autres. Vous êtes un penseur, un intuitif, un artiste, un philosophe, vous êtes au mieux le « Tiers Etat », voire vous ne valez rien ; Bac maths ou rien ! Certes, de tels esprits brillants, d’une certaine facette (mais seulement une), ont été utiles, un temps, du fait des grandes avancées techniques. Mais cela a occulté toute la réflexion profonde de la pensée, indispensable à un développement mesuré de notre civilisation. En tout état de cause, un esprit, même puissant, a ses limites et ses erreurs, la machine, non ! Leur hégémonie s’achève donc, au profit du retour des penseurs et philosophes qui, seuls, ont la capacité de se projeter sur un monde en devenir, non pas comme une nouvelle aristocratie, mais avec ceux qui dominaient et dont la qualité de réflexion reste indispensable (du moins ceux qui ne sont pas « mono » compter, classer,; diviser).

Dans ce monde très mécanique, j’ai le souvenir d’un directeur adjoint de service faisant le reproche de ne pas être cartésien, la belle affaire ! Signe des temps, l’époque qui s’achève a vu nombre de chiens savants, courtisans de l’élite, n’ayant d’ailleurs jamais ni lu ni étudié Descartes, du fait d’une éducation finalement fort limitée ou mal digérée. Face à cette médiocrité, on pense aux réflexions de Jacques Chirac ou de Jean-Paul Belmondo, que la bienséance nous interdit de citer ! Espérons que le nouveau monde fera la synthèse des qualités différentes des forces de l’esprit, en sachant redevenir plus intuitif. Pour illustrer cela, je ne place qu’une seule photo, celle de mon « pote « Eomund », expression vivante de l’intuition !!



mercredi 22 novembre 2023

La photographie, le réel et l’illusion………..

En 1839, le physicien E.Chevreul publie un traité sur les contrastes de couleurs, dans le quel il démontre que la couleur n’appartient pas aux choses car c’est une propriété de la lumière, dont les onde colorées sont absorbées ou réverbérées par la matière.

Cela signifie donc que c’est la lumière qui nous permet de percevoir les choses, par l’intermédiaire de de nos sens. Se pose alors la question de la réalité et de l’existence même de ces choses, puisqu’il s’agit d’une simple perception sensorielle, laquelle sera donc totalement différente d’un individu à un autre, ainsi que son interprétation mentale.

Pourtant, les humains s’accrochent farouchement au monde matériel, perçu comme une réalité indubitable et intangible, au point d’en oublier les forces de l’esprit, par essence immatérielles car du domaine de la pensée profonde. Cela va de l’adoration du « veau d’or », outrancièrement consumériste, à l’incompréhension et à la sidération de la disparition physique des individus. Pourtant, personne n’est certain du réel « matériel » perçu, qui n’est peut-être qu’une illusion de nos sens !

Ce traité de Chevreul a notablement influencé les peintres impressionnistes, dans leur recherche des ondes colorées, en milieu naturel. Le photographe Nadar a fini de les convaincre d’œuvrer à l’opposé de la photographie qui permet la restitution des détails, comme auparavant la peinture classique, au profit d’une ou de plusieurs « impressions » fugitives, dont on restitue la sensation, la peinture se rapprochant en cela de l’abstraction de l’esprit.

Finalement, en photographie, le débat et les interrogations restent les mêmes, bien que l’on évolue actuellement en sens inverse………..

On assiste, en effet, à une frénésie des techniques et de restitution des détails. La photographie s’est en effet scindée en deux branches, le smartphone tout automatique pour la captation d’images instantanées, et l’appareil photo complexe, pour la « vraie » photographie, celle qui est élaborée, précise et aussi très onéreuse.

Si l’on veut faire de la « vraie photo », il faut en effet compter sur un budget de l’ordre de 4000€ à 5000€ minimum, auquel il convient d’ajouter un ou plusieurs logiciels, plutôt chers, de traitement d’image et….le remplacement de son ordinateur qui n’a plus assez de puissance pour traiter tout cela !  Pourtant, malgré des appareils qui sont devenus de vrais ordinateurs fort complexes, dont on n’utilise que 20% des capacités, il n’y a pas eu de révolution majeure, depuis des années, mais seulement des améliorations, toutefois très sensibles. Ce n’est pas le cas des smartphones dont la recherche et développement avance à très grands pas (traitement des images et miniaturisation des objectifs). Certes, un grand capteur d’appareil photo recevra plus de lumière qu’un petit capteur de smartphone, ce qui intrinsèquement, autorise de meilleures photos. Mais il ne faut pas oublier que tout ce qui « sort » du capteur, grand ou petit, fait l’objet d’un traitement informatique qui « interprète » les données reçues du capteur. On parle d’ailleurs de plus en plus de « photo computationnelle », depuis plusieurs années, et le smartphone rattrape son retard à très grands pas. L’avantage reste toujours à l’appareil photo pour la restitution des détails et des nuances, avec en plus, bien plus de polyvalence (objectifs interchangeables), par rapport au smartphone, aux réglages automatiques prédéfinis, voire au rendu parfois un peu forcé. Mais on commence à entendre de la bouche des spécialistes : « l’appareil a un meilleur rendu mais avec le dernier Iphone, c’est pas mal » ! On peut lire aussi, dans la presse spécialisée, que la photo profite du « ruissellement » des progrès des smartphones vers l’appareil photo, ce qui signifie que le monde bouge vite ! On commence également à entendre : « si vous n’avez pas le budget, photographiez au smartphone ».

Finalement, tout ceci procède d’une très courte vue, car la course « au piqué » d’une photo n’est ni une fin en soi, ni même toujours souhaitable. On semble oublier l’essence profonde de la photo, quel que soit l’outil : savoir observer, apprécier, choisir ses plans, sa lumière, cadrer, admirer, contempler avant tout, sans pour autant systématiquement mettre tout « en boîte » compulsivement !

Si le photographe professionnel de studio, de mariage, de sport, naturaliste…a effectivement besoin d’un outil ultra précis et performant, il n’en va pas toujours de même pour tous les autres. On peut en effet rechercher un effet très doux voire vaporeux etc…. Et pour cela, une « boîte à images » d’occasion à presque 4 sous peut parfois suffire ! C'est seulement plus difficile qu'avec un super équipement !

Finalement, tout est sensation, rien n’est certain et indubitable, tout est mouvant, changeant, comme la lumière, dans un acte de contemplation du monde qui nous entoure ! En photographie, il n’est donc pas ridicule de s’inspirer de la démarche, du cheminement de pensée, des impressionnistes, à l’opposé des dérives constatées.

Quelques exemples de photos ci-dessous, piochées rapidement et très loin de la perfection.....

Photo Iphone SE2 (petit capteur)








Photo Lumix TZ 70(petit capteur)








Je recommande les chaînes Youtube très documentées, aux contenus et aux tons très différents :

-          Phototrend de Lauret Breillat

-          Damien Bernal

-          Eric Gibaud

vendredi 6 octobre 2023

Mon salon de la photo 2023……..sur la pointe des pieds…….

Le marché de l’appareil photo se rétrécit comme une peau de chagrin et devient de plus en plus élitiste, sinon strictement professionnel. Le salon de la photo annonce d’ailleurs très bien la couleur, en proposant trois catégories de visiteurs, pour l’organisation de la visite : « amateurs avertis », « créateurs de contenus » et « professionnels ». D’ailleurs, pour avoir un très bon boîtier photo (hors objectif), il faut compter de 1900€ à 2800€ environ. On ne trouve presque plus de compacts, seulement quelques rares « dits » experts chez Canon et Sony. Par contre, il n’y a aucun smartphone hormis Sony avec ses Xperia un peu à part.

Alors moi, qui n’ai plus aucun appareil photo digne de ce nom et qui réalise l’essentiel de mes photos avec un petit Iphone SE de 2020, acheté bon prix d’occasion, (hormis certains clichés particuliers via un petit compact Lumix ancien), je me suis fait tout petit, invisible ou presque, sauf chez les amis de la revue Image et nature, avec qui je partage les mêmes idées et passions. Je ne coche en effet (selon le stéréotype en vigueur, chez les gens de qualité….) plus aucune des cases ! Suis-je averti, expert ou rien ? Peu importe et cela dépend ! Selon les modèles des années 1980, sans doute expert ; selon la complexité boutonneuse des boîtiers d’aujourd’hui, totalement débutant !

Les principaux et ultimes fabricants de matériel photo sont évidemment présents, dans l’ordre d’importance sur le marché.

Canon dispose d’un grand espace très achalandé, comme à chaque exposition et il y est difficile de s’y frayer un chemin. Néanmoins, lors d’une moindre affluence, j’ai pu prendre en main un Full frame R8 et j’ai eu la surprise d’être démarché ! Face à un boîtier ultra léger, agréable certes, mais extérieurement tout composite, sinon plastique façon jouet (boîtier et objectif), il me fut répondu que c’est pour du grand public, même si le full frame n’est pas pour le grand public qui n’en a pas besoin……Chez Canon, c’est la gamme pro qui est absolument excellente, sans discussion. Canon fabrique ses propres capteurs, de très bonne qualité, avec un très beau rendu d'image et de fort jolies couleurs, même si la dynamique et la montée en sensibilité peuvent y être plus limitées (surtout en APSC) mais avec un autofocus précis et véloce. De fort belles images reste donc le point fort de la marque! A ce titre, le Canon EOS R10 (APSC) présente un excellent rapport qualité/prix et avec avec une bonne ergonomie et un poids plume (en espérant toutefois une robustesse suffisante).

L’emplacement de Sony, vaste, lumineux et agréable, présente toute la gamme dans laquelle on a parfois un peu de mal à s’y retrouver. En 10 ans, l’électronicien s’est hissé au deuxième rang, avec des produits d’exception, full frame surtout mais aussi APS-C, tout en développant des smartphones innovants et en conservant d’excellents petits compacts experts. J’ai particulièrement remarqué les Sony A7CII et A 6700.  Certes, il y avait du monde mais les appareils étaient accessibles.

Nikon a été relégué au troisième rang mais garde un socle de fidèles et c’est amplement mérité, tant ses appareils, de grande qualité, font de belles photos. L’emplacement est déjà un peu plus petit, il y a du monde mais les conseillers, très compétents, sont accessibles. J’ai particulièrement apprécié le nouveau Nikon Zf vintage, avec les commandes claires et accessibles, directement sur le boîtier.

Sur un très beau stand, certes plus loin derrière, en terme de marché, il y a Fuji, très innovant, qui s’est cherché longtemps, pour finalement trouver sa voie et quelle voie ! Outre des produits très bien construits et de grande qualité (notamment optiques, grâce aussi aux synergies avec son département imagerie médicale……ce que faisait autrefois Olympus), Fuji est le champion du moyen format de qualité à prix accessible. En ce sens, potentiellement, il dame le pion à tous les autres ! Mais c’est aussi le champion de la qualité des images en APS-C (en concurrence avec Sony). J’ai particulièrement apprécié le FUJI XT 5, avec ses commandes directement accessibles sur le boîtier, façon vintage. Selon un utilisateur de la marque, dont l’épouse est pro avec du Nikon, « avec Fuji, je ne fais que du Jpeg, pas besoin de RAW, grâce à toutes les bonnes simulations de rendu ».

Plus loin, sur un grand stand également, il y a le cas un peu à part de Panasonic/Lumix. Grand électronicien, lui aussi, développant une large gamme de produits, il peine à émerger du marché en photographie. En consortium avec Sigma et Leica, sur une monture commune, il a développé une nouvelle gamme d’appareils full frame tout à fait crédibles et même excellents. Mais le fait notable, c’est que la plus grande partie du stand, réservée au full frame, était quasiment vide, tandis que le relatif petit espace dédié au traditionnel et très apprécié micro 4/3 de la marque (notamment par les cinéastes) était très achalandé. On notera aussi qu’il n’y a plus aucun compact Lumix, dont certains de qualité ; c’est l’abandon.

Enfin, pour finir et sur un petit stand, on trouve OM System (Digital Solution), le repreneur d’Olympus qui s’est finalement décidé à venir cette année, absent l’année dernière sans explication crédible. Curieusement, cela semble la société de droit allemand (OM digital solution GmbH) qui est présente ( ?). Le micro 4/3 garde ses adeptes et il y avait relativement du monde, compte tenu du petit espace. Mais la part de marché est faible, plus faible que celle de Panasonic.

L’avenir nous dira qui se maintient ou survit, dans ce contexte de marché devenu de niche, pour professionnels et amateurs fortunés.

On se doit aussi de noter la présence de Leica, au matériel d’exception, à un prix stratosphérique, petit stand avec pas mal de monde ! Qui n’a pas rêvé du nouveau Leica Q3 !

A côté des grands opticiens tiers, produisant des objectifs de qualité, Tamron et Sigma, on notait la présence chinoise. En effet, depuis plusieurs années, ils pointent avec succès le bout de leur nez, avec des optiques correctes…….à suivre. A noter que les représentants de ces marques ne parlent que chinois ou anglais…..

A côté du matériel et des nombreuses sociétés d’édition et de formation, il ne faut surtout pas manquer les expositions qui recèlent des images remarquables de beauté. Certes on n’aime pas tout mais cela mérite largement une visite attentive. L’exposition de Montier en Der est époustouflante ! J’y ai en outre retrouvé une photo du très regretté Guy Michel Cognié. J’ai également remarqué les très belles photos animalières de Sorota et Bruno Sénéchal. Ces expositions constitue d'ailleurs un motif essentiel de visite!

Sur un stand un peu à l’écart mais très riche de publications, on retrouve avec plaisir « Image et Nature ». Il ne faut absolument pas manquer de le visiter. C’est non seulement une mine d’or d’ouvrages sur les sites de nature, la faune sauvage et la photo de nature mais on peut assister à de passionnantes conférences de photographes animaliers de talent, cette année, Olivier Larrey (travaille en NIKON) et l’année dernière, Adrien Favre (travaille en SONY A1). Cette petite équipe de passionnés, animant ce magazine, est des plus sympathiques, emmenée par son directeur Laurent Giraud, présent sur le stand. On y reçoit le meilleur accueil. Laurent Giraud a créé ce magazine sur une idée originale, en associant présentation et description des sites naturels, de la faune et de la flore, à la connaissance pratique de la photo de nature. Et c’est un succès ! L’autre originalité, c’est que ce magazine n’est distribué que par abonnement, ce qui évite le gâchis de papier et renforce la pérennité des Editions Terre d’Images, son éditeur. Cela conduit à une vraie communauté de passionnés, lecteurs solidairement très liés à la rédaction.

https://www.image-nature.com/

https://www.facebook.com/imageetnature/?locale=fr_FR

Côté conférences autres, diverses, j’ai le sentiment subjectif que ce qui était proposé il y a 10 ans était de plus haute volée.

Je suis reparti rapidement, en toute discrétion, comme j’étais venu, en ayant l’impression de ne plus avoir ma place dans ce salon.  La photo n’a jamais été aussi développée et prospère qu’aujourd’hui, et c’est un paradoxe, même si le plus souvent, il s’agit de simple production d’images basiques de souvenirs, sans vraie recherche ni cadrage. A côté de cela, l’appareil photo semble vivre son dernier carré de Waterloo, face à la déferlante des « shooters » (je déteste ce mot !) de smartphones. D’un point de vue technique, la recherche et développement des smartphones avance à pas de géant, pendant que l’appareil photo ne connaît aucune vraie révolution, seulement de très bonnes améliorations. Sans une certaine convergence des deux, technique et sociologique, à rechercher, il serait dommage que l’appareil photo qui, seul, a la capacité de réaliser les meilleurs clichés, se restreigne au club très fermé des professionnels disposant d’un budget de plus en plus conséquent.













mardi 26 septembre 2023

Dernières fleurs mellifères.

C’est le lierre, plante mal aimée, qui vient au secours des pollinisateurs ! En effet, il fleurit au mois de septembre, à une période où les autres floraisons ont pris fin.

Certes, le lierre est accusé d’être envahissant, inesthétique, parasite, destructeur de murs etc…Tout ceci n’est pas exact. Il faut certes le contrôler mais il n’est pas laid, voire très décoratif et présente de nouvelles vertus. Il peut certes disjoindre des pierres mais en sens inverse, sa robustesse lui permet aussi de tenir des vieux murs. Et il n’est pas parasite car il s’accroche sans se nourrir de l’arbre hôte. En résumé, le lierre demande une attention permanente pour le domestiquer mais il apporte beaucoup.

Les fleurs en grappes ne sont pas spectaculaires mais c’est une explosion d’ombelles jaunes verdâtres. Les fruits sont ensuite appréciés des oiseaux et aident à leur survie en fin d’hiver.

Actuellement, d’innombrables insectes (dont plus d’une dizaine de papillons) viennent se nourrir et se régaler sur les ombelles florales du lierre du jardin, lequel fera l’objet d’une bonne taille juste après l’hiver mais avant la nidification. En effet, le lierre est la maison de nombreux oiseaux qui y font leur nid.

https://www.apiculture.net/blog/plante-mellifere-le-lierre-grimpant-n235

https://www.lechemindelanature.com/articles/a/lierre

 










dimanche 17 septembre 2023

Grandes marées de septembre à Saint Valery sur Somme !

C’est magique, grandiose et chacun s’en donne à cœur joie, sur petits et plus grands esquifs ou bateaux ! Cela étant, quand on voit le niveau de l’eau aussi près du bord du quai sur le port, on ne peut que s’inquiéter de la montée progressive du niveau des mers. La baie s’ensablait mais, dans le futur, les environs d’Abbeville et Rue ne retrouveront-ils pas la mer ?