Art rural!
La nature est une oeuvre d'art qu'il suffit de savoir contempler sous toutes ses formes, surtout les plus humbles. J'ai trouvé ce beau tableau champêtre banalement au bord d'une petite route poussiéreuse et même avec mon petit Windows phone, le graphisme est expressif!
Mon parcours est très atypique car je suis retraité après validation de 44 années d'activité principalement dans le domaine du transport et de la logistique avec une forte connotation internationale. Pour y parvenir, j'ai effectué mes études supérieures en travaillant en parallèle (activités fort éclectiques), grâce à l'enseignement à distance et aux travaux dirigés du soir (ancien élève de René Rémond et Philippe Vigier à Paris X),
jeudi 27 juillet 2017
A la recherche des Templiers?
Non, pas spécialement mais, lorsque je me rends à Gisors, je ne manque jamais d'aller admirer l'un des plus beaux spécimens d'architecture militaire médiévale, le château avec son donjon sur motte, son beau jardin, sa vue sur la ville et son église cathédrale, ses douves etc.
Je n'avais pas prévu ni envie de faire des photos en ce 22 juillet 2017. Cela étant, il y a toujours des points de vue et lumières intéressants et, sans appareil photo, il restait cependant mon modeste et petit Windows phone, réputé pour être le plus mauvais photo-phone du marché! Il faisait gris mais tiède, au sortir de jours brûlants, avec une lumière bizarre et les tons ocres d'une végétation qui n'en peut plus de griller. Après un léger post traitement (que faire de plus avec ce type d'outil), cela nous donne un mélange de diapositive d'antan et d'aquarelle. Les fleurs du jardin ne peuvent pas beaucoup rehausser tout cela tant elles ont eu du mal à pousser avec ce climat hors norme. Seules les chèvres qui assurent un débroussaillage écologique apprécient! Finalement, tout essayer en photo, ce n'est pas désagréable!
Non, pas spécialement mais, lorsque je me rends à Gisors, je ne manque jamais d'aller admirer l'un des plus beaux spécimens d'architecture militaire médiévale, le château avec son donjon sur motte, son beau jardin, sa vue sur la ville et son église cathédrale, ses douves etc.
Je n'avais pas prévu ni envie de faire des photos en ce 22 juillet 2017. Cela étant, il y a toujours des points de vue et lumières intéressants et, sans appareil photo, il restait cependant mon modeste et petit Windows phone, réputé pour être le plus mauvais photo-phone du marché! Il faisait gris mais tiède, au sortir de jours brûlants, avec une lumière bizarre et les tons ocres d'une végétation qui n'en peut plus de griller. Après un léger post traitement (que faire de plus avec ce type d'outil), cela nous donne un mélange de diapositive d'antan et d'aquarelle. Les fleurs du jardin ne peuvent pas beaucoup rehausser tout cela tant elles ont eu du mal à pousser avec ce climat hors norme. Seules les chèvres qui assurent un débroussaillage écologique apprécient! Finalement, tout essayer en photo, ce n'est pas désagréable!
samedi 22 juillet 2017
Auberge des animaux
Mon jardin, aussi raisonnablement naturel que possible (un
jardin de photographe), semble apprécié par ce qu’il est convenu d’appeler la
biodiversité, dans le langage d'aujourd’hui ! Les insectes pollinisateurs
butinent, les papillons (dont le Moro Sphynx) colorent l’espace de leurs belles
ailes ainsi que quelques libellules, parfois. Les écureuils se sont aussi
installés à demeure (voir ma page du 1er décembre 2016). On les voit
peu, on ne cherche d’ailleurs pas à les déranger mais ils sont bien là car les
noisettes qu’on leur donne sont régulièrement croquées…ou cachées dans les
parterres ou les pots de fleurs, méthodiquement grattés, car ce sont les seuls
endroits en ce moment, où la terre est meuble. Les descendants de « Scrat »,
l’écureuil fou de « l’âge de glace », sont toujours aussi obnubilés
par les noisettes et les glands!!! Quant au débonnaire hérisson, on le
voit encore moins mais on l’entend fouiner et il arrive qu’il vienne sur la
terrasse à la nuit tombante, sans manifester de crainte particulière. Un soir,
il est resté à côté de moi, d’abord un peu effrayé de ma présence mais sans
vraiment se mettre en boule. Il s’est ensuite reposé tranquillement quelques
minutes, avant de repartir paisiblement le long de mes pieds ! Mais ce sont
essentiellement les oiseaux, aux nombreuses espèces, qui fréquentent les lieux.
La mésange a fait son nid…..dans une « maison » d’écureuil mais elle
n’est pas la seule car de très nombreuses naissances ont été constatées !
Comme chaque année, c’est l’hirondelle rustique qui est la plus visible car le
couple, habitué du site, vit dans le garage ! Le nid placé sur le tuyau d’évacuation
de la cuisine (donc tiède….un chauffage central) s’étant écroulé l’année
dernière (voir ma page du 23 juillet 2016), elles ont naturellement utilisé l’autre
nid, beaucoup plus frais sinon un peu froid, une aubaine cette année de chaleur.
Quatre petits sont nés avec, comme d’habitude, un costaud et un timide plus
fluet !! Ils ont quitté le nid le 9 juillet et appris les premiers rudiments
du vol le 11 juillet. Aujourd’hui, c’est un ballet incessant de petits « avions
de chasse », l’Homme n’ayant fait que copier l’oiseau ! Les
jeunes hirondelles ne me craignent absolument pas et marquent même pas mal d’intérêt,
quand je vais les voir et m’approche. J’évite cependant de le faire fréquemment
car s’habituer à l’Homme constituerait un grand danger. A priori,
elles seront bien solides et entraînées pour « le grand voyage »,
dans un peu plus d’un mois, contrairement aux petits de l’année dernière.
Photo avec Olympus.
vendredi 21 juillet 2017
Joyaux solitaires !
Le réchauffement climatique est une réalité désormais bien
visible, dans le sud-ouest des Hauts de France, à la frontière de la Normandie.
Au fil du temps, depuis le début du Printemps, le sol est devenu sec, l’herbe
grillée et le soleil brûlant. Tondre la pelouse n’a plus aucun sens car il n’y
a quasiment plus rien ! Les arbres résistent, ainsi que quelques plantes
sélectionnées que l’on arrose parcimonieusement, pour les maintenir. Dans ce
contexte, les rares fleurs sauvages ou cultivées qui subsistent, paraissent
comme des joyaux solitaires, perdus dans des tonalités de plus en plus fades. Les photos ci-dessous ont été
faites au printemps, alors qu’il n’y avait déjà pas beaucoup de couleurs ! Aujourd’hui, il n’y a quasiment plus rien à photographier, ou si peu !
Ce
sont toutes des photos Olympus, sauf la première (Canon).
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