Fête des grands-mères
Quand le temps s’est écoulé, inexorablement, alors il ne
reste plus que le silence, juste atténué par le souffle du vent, face à la froide
pierre ornée de fleurs fraîches et colorées. Par monts et par vaux, la route
nous offre alors, dans des paysages pourtant sobres, des spectacles à couper le
souffle, des ciels comme les aimait tant Eugène Boudin (images des Hauts de France
et d’Ile de France).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire