samedi 21 mars 2020


Tons pastel et vaporeux……………..

Les tests de matériel photo insistent toujours sur le piqué et l’homogénéité, les plus parfaits possibles, de l’objectif, ainsi que de la définition et de la restitution du capteur du boîtier, aidées en cela par un puissant logiciel interne. C’est effectivement essentiel à la reproduction, fidèle et de qualité, de belles images choisies autour de soi.

Mais on peut aussi prendre un chemin totalement inverse, en recherchant surtout des éclairages et tonalités douces ou curieuses, sans se soucier de la fidélité du trait. C’est une démarche un peu bizarre, pour un photographe, mais pleine d’attrait. En effet, à partir d’un instrument programmé pour une restitution fine,  il n’est pas si facile de dégrader des caractéristiques techniques, pour aboutir à une image basée sur le couple lumières, couleurs, à partir de scènes existantes, telles quelles, et que l’on ne peut pas modifier, mais seulement choisir en les composant au mieux.

Je me suis amusé à cela, avec un Smartphone Xiaomi,  équipé d’une lentille macro, de prix très modéré, mais de qualité correcte (en choisissant les mauvaises images), et d’un infect complément optique soi-disant télé tout plastique  « à 2 balles », en jouant sur les défauts du matériel !




























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